Comédie douce amère
1H25
Jeudi 23, Vendredi 24 et Samedi 25 à 20h00, Dimanche 26 Novembre à 16h30
S'il n'y a plus de places disponibles sur internet, merci de téléphoner directement au théâtre.
Une comédie de l’intime, tendre et émouvante.
Véritable paradoxe entre deux moments de la vie d’un père et d’un fils. Dans le restaurant qu’il a créé, comme la plupart des jeunes pères, Pierre passe son temps à travailler dur, animé par le seul désir de rendre sa famille heureuse.
Max, son père, éternel jeune homme pour qui la vie semble légère, profite de sa retraite entre ses copains et le souvenir de sa femme disparue. A première vue, il semblerait que l’un s’échine à porter ses caisses, alors que l’autre n’aspire qu’à tournoyer sur un air de tango sur les parquets des salles de bal. Les saisons passent, le temps file comme le sable entre les doigts mais Pierre, au tournant de sa vie, réalise que tout est sur le point de changer.
Nomination aux Cyranos 2022 : Michel Papineschi meilleur acteur dans un second role
Compagnie 13
Co-Production Thalia Prod
Ecriture Isabelle de Toledo
Mise en scène Pascal Faber et Bénédicte Bailby
Avec Michel Papineschi, Damien Boisseau, Chloé Froget
Tout public - A partir de 12 ans
« Un magnifique et bouleversant pas de deux entre un père et un fils. » L’OEIL D’OLIVIER
« Brillant Michel Papineschi ! » VALEURS ACTUELLES
« Un conte familial et intime très bien mené. A déguster sans modération. » LE FIGARO
« Dans cette comédie sincère, le spectateur a l’impression d’être un client de ce bar et d’assister à l’intrigue de sujets familiers si bien traités, on recommande. » LA PROVENCE
« Une bulle de fraicheur transgénérationelle. » LE BRUIT DU OFF
LE MOT D'ANTHEA
Avec beaucoup de pudeur, ce trio met en lumière le regard des parents sur la vie de leurs enfants devenus adultes et seuls maîtres de leur existence. J’ai été profondément touchée par cette pièce qui parlera aussi bien aux jeunes couples, qu’aux parents et grands-parents qui tentent d’accompagner sur la pointe des pieds leurs enfants, sans vouloir jamais les déranger. Pour autant, il ne leur faut pas non plus s’oublier et vivre eux-mêmes, encore avec un V majuscule.